le grimoire esotérique d'eldarwen

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geist : esprit) désigne un phénomène paranormal rare, spontané et récurrent, se manifestant par des psychokinésies provoquées par une ou plusieurs personnes. celles-ci peuvent prendre plusieurs formes :bruits divers, mouvements d'objets, apparitions ou disparitions d'objets, apparitions d'ectoplasmes. le poltergeist serait intensément vécu psychologiquement, rappelant des sentiments de hantise, et se mélangeant avec des croyances folkloriques, des hallucinations, et des troubles du sommeil. néanmoins, les cas étudiés montrent des constantes qui tendraient à faire penser qu'un vrai phénomène existe qui n'est pas surnaturel.en particulier :la majorité des cas se passerait dans les parages d'un adolescent émotionnellement déséquilibré (soit dans l'agressivité, soit dans la soumission vis-à-vis de son environnement). le poltergeist accompagnerait souvent la personne même si elle déménage. il ne disparaîtrait pas définitivement après un exorcisme, un entretien médiumnique, une guérison magique, ou encore une approche visant à enregistrer ou capturer les phénomènes. en revanche, une approche clinique effectuée avec un psychologue compétent tendrait à les dissiper. cela laisse à penser qu'à la racine de tout poltergeist il y aurait une problématique psychopathologique (néanmoins, la psychanalyste djohar si ahmed considère que ce symptôme est une recherche de sens plutôt qu'une maladie mentale chronique). l'agressivité du poltergeist ne serait qu'apparente. pour une raison que l'on n'explique pas encore, un poltergeist n'entraînerait que rarement et de manière très minime des blessures physiques. l'incompréhension et le rejet social et scientifique fait que la blessure psychique peut être mille fois plus importante. pour ceci, un organisme allemand, l’institut für grenzgebiete der psychologie und psychohygiene de freiburg dispose de consultants formés à ce type d'intervention. la france ne propose pas encore d'équivalent parce qu'il est difficile de distinguer le poltergeist de l'hallucination et de la fraude. des travaux en parapsychologie auraient obtenu une certaine compréhension de la question (en particulier : walter von lucadou ; hans bender ; djohar si ahmed ; william g. roll) le cas de poltergeist le plus connue est celui d'enfield. referencessi ahmed d., parapsychologie et psychanalyse, dunod, paris, 1990. catala p., apparitions et maisons hantées, presses du châtelet, 2004. schopenhauer a.; essai sur les apparitions et opuscules divers ; felix arcan ; paris ; 1912. bozzano e.; les phénomènes de hantise ; paris ; alcan ; 1929. favre f. ;(anthologie dir. par). les apparitions mystérieuses ; paris ; tchou/laffont ; 1978. favre f. ; caractères généraux des apparitions. revue parapsychologie ; 1978 ; 6 : 9-18. favre f. ; rapport sur « les mythes et le paranormal » ; site internet http://gerp.free.fr ; 2000. mercier e., si amed d. ; expériences autour d’un miroir ; paris ; jmg, 1998. sudre r. ; téléplastie spontanée et hantises ; in : traité de parapsychologie. paris ; payot, 1968 : 350-379 tyrell g.n.m. ; apparitions et fantômes ; paris ; fasquelle, 1955. bender h., télépathie, clairvoyance, psychokinèse, ed. alsatia, colmar, 1980. belanger l., beney g., dallaire p. & drouin a. ; psi : au-delà de l'occultisme ; montréal: québec/amérique, 1978 les djinns un jinn (parfois orthographié djinn), est une créature de la mythologie sémitique. ils sont en général invisibles et peuvent prendre différentes formes. il y a de bons et de mauvais jinns.pour les arabes, les jinns représentent une autre race habitant la terre, ce sont des sortes d'esprits qui habitent les endroits déserts, les points d'eau, les cimetières et les forêts. pour se manifester, ils prennent diverses formes, dont celles de l'homme ou des animaux, couramment des serpents. le mot jinn ou 'ifrit (pluriel : 'afarit) désigne d'ailleurs à la fois ces esprits ainsi que certaines variétés de serpents. leurs noms, paroles ou comportements, qui demeuraient étranges permettaient de les discerner des humains quand ils en prenaient la forme. certains de ces esprits étaient, selon les légendes pré-islamiques, les muses des poètes : ce sont les hawajis (singulier : hajis). comme les hommes, ils sont organisés en royaumes, états, tribus, peuples, ils ont des religions (dont celles de l'homme) et des lois.en arabe classique et ancien : jinni (masculin) jinnia (feminin), pluriel : jinna ou jinn, dans certains dialectes arabes postérieurs jinn, pluriel : jnoun. (voir aussi goule.)dans l'islam, les jinns sont des créatures dotées de pouvoirs surnaturels, ils ont été créés à partir d'un feu subtil (comme l'être humain l'a été à partir d'argile), ils sont appelés à croire et subiront le jugement dernier.les appellations des mauvais jinns sont :les 'afarits (de 'ifrit) les maridins (de marid) les démons, shayatin (au singulier shaytan, satan pour les langues latines) sont de mauvais djinns.on peut d'ailleurs noter que le mot « génie » (au sens merveilleux comme dans le conte d'aladdin) est une francisation du mot « djinn ». la confusion avec le mot génie au sens commun (personne dotée d'une habileté intellectuelle remarquable) est semble-t-il intentionnelle. il convient aussi de remarquer que dans l'arabe moderne le mot désignant un génie au sens commun du terme est 'abqari qui vient de 'abqar un oued de l'anciennne arabie réputé comme étant un repaire de djinns.dans les mille et une nuits, les jinns habitent la cité rose de shadukiam. le plus ancien jinn, par lequel ils jurent ou prêtent serment, se nomme kashkash. d'après un grimoire médiéval (le livre du pouvoir), ampharool est le jinn qui peut enseigner au magicien le secret du vol.victor hugo a écrit un poème les djinns publié dans son recueil les orientales.dans la trilogie de bartiméus, oeuvre de jonathan stroud, l'histoire raconte les épreuves de magiciens pouvant invoquer des djinns, créatures malfaisantes et bien souvent antiques ( comme bartiméus ). ils existent différents degrés d'esprit, principalement, du plus faible au plus fort : gnomoncule, gnome, foliot, djinn, afrit, marid et d'autres non dénominés ainsi que d'infinies quantités de petites créatures faibles et stupidesarticle wikipédiahttp://www.carlcritchlow.com/magicsale7.htmlsite d'où provient l'image, si vous désirez y aller! les poltergeists sont des cas à part dans le domaine de la parapsychologie. il en existe deux catégories. la première catégorieelle concerne des phénomènes liés directement au psyché d’un être vivant dont l’état mental est générateur d’énergie perturbatrice. il crée lui-même des phénomènes de psychokinèses spontanées involontaires (déplacements d’objets) ceux-ci ont les mêmes caractéristiques qu’une hantise de ce type.sauf qu’aucune entité n’est à l’origine des perturbations. le phénomène cesse dès que le sujet clef quitte le lieu en question.la seconde catégorieelle montre des cas de psychokinèse et de combustions d’objets entre autre chose mais la force qui provoque ne fait pas partie de notre dimension. il peut s’agir d’un ou plusieurs esprits. provoquant des manifestations dans une ou plusieurs pièces d’un lieu. de rares cas de poltergeists ont été répertoriés en extérieur (brésil : une jeep à parcouru plusieurs mètres sur une surface sablée sans laisser la moindre trace de pneu) les poltergeists agissent majoritairement en fonction d’une personne présente en un lieu. la personne n’est plus génératrice mais elle stimule « l ‘agressivité » des poltergeists (médium)conclusion : le poltergeist est toujours lié à une personne en particulier et il n’a pas d’équivalent visuel. c’est à dire qu’il ne peut-être vu, il n’est qu’énergie. constatation : il n’existe (apparemment) aucun témoignage de poltergeist accompagné d’une apparition. les entités ou esprits sont répertoriés selon 9 classes : selon allan kardec9- les esprits impurs : ils incitent à la discorde et apportent de mauvais message. ils camouflent leurs intentions.8- les esprits légers : ils agissent de manière gratuite sans aucune préoccupation sur les conséquences de leurs actes.7- les esprits pseudo sages : ils mélangent vérité et mensonge en croyant que tout est vérité. ces esprits sont obstinés et jaloux des vivants.6- les esprits neutres : ils ressentent le manque du monde mortel mais ne cherchent pas à y retourner. ils agissent dans l’indifférence de leur environnement. tantôt bien, tantôt mal.5- les esprits charitables : ces esprits sont comparables à de faux anges gardiens. ils s’emploient à protéger le monde matériel mais ne savent pas pourquoi.4- les esprits cultivés : ils agissent selon la connaissance acquise dans le tout universel. ils agissent plus de façon intellectuelle que morale. mais la plupart du temps de manière utile.3- les esprits prudents : ce sont des juges. ils agissent moralement et intellectuellement, toujours de façon juste même si les conséquences sont dommageables.2- les esprits supérieurs : ce sont des guides comparables aux anges gardiens. ils ne donneront jamais de faux espoir mais ne cacheront pas la vérité. ils fuient la matière. ce sont généralement ces esprits que recherchent les médiums lors de séances de spiritisme.1- les esprits purs : ils sont supérieurs à toutes les classes et ne subissent plus la réincarnation et l’expiation. pour les croyants ils sont inaccessibles parce que proches de dieu.et les entites1 : l’appesart : cette entité est une sorte de vampire. il absorbe l’énergie vitale des êtres vivants. celui qui entre en contact avec un appesart se sent fatigué, vidé voir tremblant. cette entité réagit de façon ponctuelle et uniquement s’il est dérangé. exemple : marcher sur une sépulture oubliée ou sur un lieu chargé méconnu. 2 : l’appeleur : l’appeleur quitte sa tombe la nuit pour errer dans le village le plus proche et prononcer à haute voix le nom de l’un des habitants (analogie avec l’ankou breton) il regagne sa tombe avant l’aube (avant que le soleil ne se lève à « l’est ») 3 et 4 : incube et succube : ces entités agissent par possessions afin de renouer avec une vie sexuelle. ils recherchent l’acte en utilisant l’être humain comme intermédiaire. l’incube est une entité mâle, le succube une entité femelle. 5 : agénère : esprit qui peut un court instant, prendre l’apparence d’un être vivant. (attention : à ne pas confondre avec esprit tangible) la dame blanche la dame blanche est habituellement un fantôme ou une vision féminine appartenant à une légende. il en existerait de nombreuses en france et dans le monde.un exemple« le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans vers 0h30, après s'être promené sur les quais de palavas et avoir bu un coup, aperçoivent sur le bord de la route, une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années portant un imperméable ainsi qu'un foulard blancs. ils lui proposent de l'amener jusqu'à montpellier. elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et s'assied entre les deux passagères. la voiture repart. la mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. un kilomètre après, elle s'exclame attention au virage, attention au virage !. le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage sans encombre. c'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! la voiture roule toujours à 90 km/h, les portes fermées... d'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. qui, après avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes les personnes qui les interrogent, concluent à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire. » (la gazette de montpellier, 21 juillet 1995).une dame blanche hanterait les chutes montmorency, non loin de la ville de québec, peut-être dû au fait que la presse fait mention de suicides aux chutes montmorency.la légende relate l'histoire de deux amoureux, mathilde et louis. en 1759, ils furent séparés lors d'une attaque anglaise, repoussée par les habitants. louis, étant parti au combat, ne revint pas avec les autres combattants. mathilde le chercha, et revint dans sa ferme, où elle prit la robe blanche qu'elle devait mettre le jour de son mariage. elle le retrouva enfin, sans vie, près de la grande chute de la rivière. folle de douleur, elle se jeta dans la chute, vétue de sa robe de mariée. les habitants prétendent qu'elle hante encore, les soirs d'automne, les abords de la chute, cherchant le corps de son bien-aimé.les dames blanches, ou grises se matérialisent toujours au même endroit. elles tirent leur nom de leur vêtementou de la lumière qui sort d'ellesl'apparition de la dame blanche se manifeste vers minuit, heure propice aux fantômes. elle apparait surtout près des croisements de routes et des ponts, endroits traditionnellement choisis par les créatures surnaturelles pour se manifester (ces lieux symbolisent un "passage" entre l'ici-bas et l'au-delà); enfin, la "femme en blanc" correspond à une figure classique d'être fantastique du folklore européen".       les vampires les vampires sont les héritiers de la malédiction de caïn, qui fut condamné à errer pour avoir tué son frère abel. ils peuvent la transmettre à un mortel par un acte "l'etreinte", consistant à vider la personne de son "fluide vital" avant de lui faireboireun peu de sang de vampire. le mort se ranime alors, et devient à son tour immortel, obligé de se "nourrir" de sang frais.tous les pouvoirs d'un vampire proviennent de son sang!il peut par exemple en dépenser pour améliorer sa force physique.bien entendu, étant mort, son cœur ne battant plus, il ne produit pas non plus de chaleur corporelle . seule la consommation de sang lui permet de préserver son corps de la décomposition. le vampire doit se nourrir souvent, sous peine de sombrer en torpeur en cas de manque prolongé. mais, la quantité nécessaire est assez faible pour qu'ils ne doivent pas tuer leurs victimes, ils peuvent lécher la blessure infligée par leurs crocs permettant de la refermer sans préjudices.toutes les caractéristiques du vampire proviennant de son sang, donc de celui de son géniteur à travers "l'etreinte", il aura, dans une certaine mesure, ses forces et ses faiblesses . c'est ce qui donne naissance à des lignées distinctes, les" clans". d'autre part, à chaque nouvelle génération, le sang se dilue, et sa puissance diminue. les jeunes vampires courants sont de la treizième génération depuis caïn.la première marque de la malédiction de caïn est la sensibilité aux "forces vitales" que sont le soleil et le feu.un vampire soumis à la lumière du jour souffre de blessures graves, et peut s'enflammer spontanément. les vampires sont généralement inactifs et inconscients pendant la journée, semblables à des cadavres. ils peuvent éventuellement se réveiller en cas de danger, mais plus ils s'éloigent de l'humain qu'ils étaient, et plus cela leur est difficile, et plus ils ont du mal à agir même s'ils sont conscients. en tant que créatures maléfiques, les vampires sont aussi repoussés, non par les symboles religieux comme on pourrait le croire - car ils n'ont pas de puissance en soi -, mais par la foi de la personne qui les brandissent. heureusement pour eux, les personnes sincèrement pieuses sont très rares...la deuxième marque de la malédiction,est l'entrée de la bête en eux au moment de l'etreinte.chaque fois que le vampire est soumis à des conditions de stress, comme sous l'effet d'une soif intense, de la colère ou encore de la peur, ses instincts risquent de remonter à la surface et de le submerger au point qu'il perde tout contrôle de ses actes, risquant souvent de commettre l'irréparable. et chaque fois qu'il commet un tel crime, il glisse un peu plus sur la pente de l'inhumanité, l'éloignant à jamais de ce qu'il était pour le rapprocher encore de la bête... il est dit, cependant, que quelques vampires ont parvenu à atteindre une sorte d'état de grâce, golconda, dans lequel la bête et l'humanité sont en équilibre, brisant le cercle vicieux. mais bien peu sont ceux qui ont cette chance._________________ le syndrome de renfieldvoir sur le lien :http://senhal.free.fr/spip.php?article8 les psychanalystes, psychiatres, et psychologues, pour expliquer les cas dont ils s’occupent et tout faire rentrer dans des cases bien comme il faut, aiment bien se référer à des mythes. freud, c’était oedipe, pour les tueurs sanguinaires, il y a les vampires. sans compter que c’est un mot qui plaît particulièrement aux media et aux procureurs dans les affaires les plus sordides : "vampire" devient synonyme de "monstre", alors que souvent, le comportement du tueur n’a pas de rapport, à proprement parler, avec le vampirisme clinique. on parle donc fréquemment de vampires pour des meurtres choquants, mais les véritables cas de vampirisme clinique, comme les décrit richard noll, sont finalement assez peu courants. il me semble pourtant que l’on pourrait, au vu de la nature des actes commis et des antécédents parfois connus, rapprocher certains criminels de cette typologie : fritz haarman, peter kürten, andrei chikatilo, ou encore john haig ; le cas de richard trenton chase semble vraiment assez particulier...richard noll, dans son livre publié en 1992, n’invente pas le syndrome de renfield : il propose simplement de le rebaptiser ainsi, en référence au personnage créé par bram stoker, qui montre des signes et symptômes classiques de ce trouble. il pense d’ailleurs que stoker s’est inspiré du célèbre neurologiste et psychiatre allemand richard van krafft-ebing, lequel parle de nombreux cas de meurtres comprenant la nécrophagie, la nécrophilie, l’ingestion de sang et l’excitation sexuelle que certains individus ne peuvent obtenir que lorsqu’ils font couler du sang frais de leurs partenaires sexuels, ou qu’ils s’imaginent en train de le faire. plus fondamentalement, pense noll, c’est le fait de violer un tabou culturel, ici, boire du sang, qui serait l’origine de la maladie : en effet, l’interdit, c’est excitant ! a partir de cette idée et de l’étude de nombreux cas de vampirisme clinique, il propose une caractérisation et une évolution type par étapes du syndrome de renfield :le plus souvent, c’est un événement particulier qui conduit au développement du vampirisme (c’est-à-dire l’ingestion de sang). habituellement, cela se passe pendant l’enfance et l’expérience d’un saignement ou bien le goût du sang est vécue comme "excitante". après la puberté, cette excitation associée au sang est ressentie comme ayant une nature sexuelle." john haig, dans ses mémoires, racontera qu’il a effectivement vécu une telle expérience pendant son enfance. l’autovampirisme est généralement développé en premier, habituellement pendant l’enfance, initialement par des grattages et des coupures de la peau pour faire apparaître du sang, qui est ingéré et plus tard, en apprenant comment ouvrir les principaux vaisseaux (veines, artères) afin de boire un flot régulier de sang chaud plus directement. le sang peut alors être ingéré au moment de l’ouverture, ou être conservé dans des récipients pour être bu plus tard ou pour d’autres raisons. la masturbation accompagne souvent les pratiques d’autovampirisme.la zoophagie (littéralement, le fait de manger des créatures vivantes, mais plus spécifiquement, l’ingestion de leur sang) peut se développer avant l’autovampirisme dans certains cas, mais c’est habituellement le stade suivant. les personnes atteintes du syndrome de renfield peuvent attraper, manger ou boire eux-mêmes des créatures comme les insectes, les chats, les chiens ou les oiseaux. le sang des autres espèces peut être obtenu à l’abattoir. l’activité sexuelle peut ou non accompagner ces actes." on retrouve bien ici le comportement du personnage du roman, qui élève dans sa chambre des araignées qu’il mange ou fait manger par des animaux plus grands, pour finir lui-même par les manger.le vampirisme dans sa véritable forme est le prochain stade de développement - se procurer et boire le sang d’êtres humains. cela peut se faire en volant du sang dans les hôpitaux, les laboratoires… ou en tentant de boire directement du sang sur d’autres personnes. habituellement, cela implique des activités sexuelles en rapport avec ces actes, mais dans les cas typiques de meurtres et dans les crimes violents, l’activité sexuelle et le vampirisme ne sont pas forcément liés.le besoin de boire du sang s’associe presque toujours à une composante sexuelle.le sang prendra parfois une signification quasi mystique en tant que symbole sexué de la vie ou du pouvoir et en tant que tel, une expérience de bien-être ou de puissance.les personnes souffrant du syndrome de renfield sont essentiellement des hommes.la définition des caractéristiques du syndrome de renfield est le besoin de sang. les activités comme la nécrophilie et la nécrophagie, si elles n’ont pas pour but l’ingestion de sang, ne sont pas considérées comme des aspects de ce trouble." ainsi, d’après cette dernière précision, on ne peut pas classer sergent françois bertrand ou henri blot comme des vampires cliniques. elizabeth bathory est née en 1560, d'une famille de sang royal, comptant dans ses proches parents le prince de transylvanie, sigismond bathory, un oncle qui devint roi de pologne, des gouverneurs de province, de hauts magistrats, des évêques et un cardinal. cette famille remontait très loin dans le temps et comptait un certain nombre d'aventuriers hongrois descendant probablement des huns et qui s'étaient imposés par le sang et la violence, comme il était de règle à ces époques troublées où la hongrie allait passer d'un paganisme pur et dur à un catholicisme très inféodé à rome. du temps d'elizabeth, rien n'était d'ailleurs vraiment net dans cette région bouleversée par l'apparition des réformateurs luthériens et calvinistes et où le catholicisme romain se heurtait au christianisme orthodoxe et aux innombrables communautés musulmanes disséminées par les turcs. sans parler des vestiges virulents d'un paganisme hérité du fonds asiatique :" l'ancienne terre des daces était païenne encore, et sa civilisation avait deux siècles de retard 1 sur celle de l'europe occidentale. là, régnaient, gouvernées par une mystérieuse déesse mielliki, les innombrables forces des grands bois, tandis qu'à l'ouest, le vent habitait seul, la montagne de nadas. il y avait un dieu unique, isten, et l'arbre d'isten, l'herbe d'isten, l'oiseau d'isten... dans les carpates superstitieuses, il y avait surtout le diable, ordôg, servi par des sorcières, elles-mêmes assistées de chiens et de chats noirs. et tout venait encore des esprits de la nature et des fées des éléments ; de delibab, la fée de midi aimée du vent et mère des mirages 2, des tünders 3, sœurs de toutes merveilles et de la vierge de la cascade peignant ses cheveux d'eau 4. dans les cercles d'arbres sacrés, de chênes et de noyers féconds, se célébraient encore secrètement les anciens cultes du soleil et de la lune, de l'aurore, et du cheval noir de la nuit 5. c'est dans cette atmosphère très particulière, encombrée de sortilèges et de traditions ancestrales venus d'ailleurs, que se déroula l'enfance d'elizabeth bathory, et cela explique certainement beaucoup de choses concernant le comportement et le mode de pensée de cette comtesse qu'il faut bien se résoudre à qualifier de ", sanglante ".il faut aussi prendre en compte la lourde hérédité d'elizabeth : sa lignée ne comportait pas que des petits saints, bien au contraire. un certain nombre de ses ancêtres avaient été des brutes sanguinaires, et dans sa parenté immédiate se trouvaient quelques homosexuels mâles notoires. un de ses frères était un dépravé pour lequel tout était bon, la plus tendre fillette comme la plus ratatinée des femmes âgées. une de ses tantes grande dame de la cour de hongrie défrayait la chronique scandaleuse : lesbienne impénitente, on disait, tribade " à l'époque, elle était tenue pour responsable de la dépravation de douzaines de petites filles. et puis, la propre nourrice d'elizabeth, joilona, qui deviendra son âme damnée, personnage trouble et inquiétant, pratiquant la magie noire et les sortilèges les plus pervers, eut une influence déterminante sur l'évolution de son esprit.elizabeth bathory les descriptions qu'on possède d'elizabeth bathory, ainsi qu'un portrait qu'on en a conservé, nous la montrent d'une grande beauté : " les démons étaient déjà en elle ; ses yeux larges et noirs les cachaient en leur morne profondeur ; son visage était pâle de leur antique poison. sa bouche était sinueuse comme un petit serpent qui passe, son front haut, obstiné, sans défaillance. et le menton, appuyé sur la grande fraise plate, avait cette courbe molle de l'insanité ou du vice particulier. elle ressemblait à quelque valois dessiné par clouet, henri ill peut-être, en féminin 1. " bref, quelque chose de mélancolique, de secret et de cruel. le blason des bathory n'était-il pas composé de trois dents de loup, d'un croissant de lune, d'un soleil en forme d'étoile à six pointes, le tout entouré d'un dragon qui se mord la queue ? on ne sait pas grand-chose sur la jeunesse et l'adolescence d'elizabeth, sinon qu'elle se réfugiait souvent dans une solitude farouche. par ailleurs, depuis son plus jeune âge, elle souffrait de maux de tête parfois intolérables qui la faisaient se rouler par terre. était-ce de l'épilepsie ? il semble plutôt qu'elizabeth était en proie à des crises d'hystérie qu'il serait tentant d'assimiler à des crises de possession démoniaque. mais cette hystérie explique en partie sa déviance sexuelle : sa sensualité était exacerbée, mais morbide, et si elle ne refusa pas les contacts masculins, elle évolua toute sa vie dans des retraites peuplées uniquement de femmes ; elle ne sacrifia jamais un seul homme à ses débauches, mais uniquement des femmes, et elle était incontestablement homosexuelle. on prétend même que c'est sa tante klara bathory, qu'elle fréquentait assidûment, qui l'avait initiée au culte de sapho. il faut dire que l'homosexualité était à la mode, en cette fin de xvie siècle : à paris, la cour des valois donnait un exemple que s'empressaient de suivre les autres cours européennes, orientales autant qu'occidentales, celle de rome ne faisant pas exception. et le lesbianisme descendait même dans la rue :en allemagne et dans tout le saint-empire, il y avait encore des héritières de cette étrange secte de triba des flagellantes qui parcouraient, au xlve siècle, les villes et les villages, se mettant nues en public, se fouettant mutuellement, hurlant des chants et pratiquant des attouchements indécents. vestiges d'un culte de la déesse des origines ? probablement, mais avec des rituels érotiques sanguinaires. on peut toujours se demander si elizabeth bathory, si précocement initiée par sa tante klara, n'a pas consacré sa vie à cette religion instinctuelle et viscérale tout entière vouée à l'adoration de la grande déesse des temps obscurs, celle qu'on a prisé trop hâtivement pour la terrible hécate lunaire, divinité grecque des carrefours (où rôde également le diable !), et qui n'est en réalité que l'image du soleil rouge, divinité ô combien féminine, la fameuse et cruelle artémis des scythes, celle qui, dans la tragédie d'euripide, iphigénie en tauride, réclame incessamment le sang des mortels pour nourrir son existence surnaturelle ? il y a là un bel exemple de vampirisme 1. mais l'homosexualité d'elizabeth bathory n'était pas exclusive. on lui prête plusieurs aventures masculines avant son mariage et après son veuvage. toute jeune, immédiatement après sa puberté, elle aurait eu une petite fille d'un paysan. elle avait quatorze ans et elle était déjà fiancée à férencz nàdasdy, un comte appartenant à la meilleure noblesse hongroise, redoutable guerrier qui devint illustre et mérita, par la suite, le titre de " héros noir de la hongrie ". mais on sait ce que signifiaient les mariages dans la bonne société d'alors. il semble que, se trouvant enceinte, elle demanda à ursula nàdasdy, mère de son fiancé, laquelle était chargée de sa " protection ", la permission d'aller dire adieu à sa propre mère, anna bathory, accompagnée d'une seule femme en qui elle avait toute confiance. on ne dit pas si anna bathory approuva le comportement de sa fille, mais elle fit contre mauvaise fortune bon cœur. craignant le scandale et la rupture du mariage de sa fille, elle aurait amené secrètement elizabeth dans un de ses châteaux les plus éloignés, du côté de la transylvanie, laissant courir le bruit que sa fille, atteinte d'une maladie contagieuse, avait besoin de repos et d'isolement absolus. elle l'aurait alors soignée, aidée d'une femme venue du château familial de csejthe et d'une accoucheuse qui avait fait le serment de ne rien révéler. une petite fille serait donc née, à laquelle on aurait donné également le prénom d'elizabeth, et qui aurait été confiée., moyennant pension, à la femme de csejthe qui avait accompagné sa fille. quant à la sage-femme, elle fut renvoyée de roumanie avec de quoi vivre largement, mais interdiction de jamais revenir en hongrie. c'est alors qu'elizabeth bathory et sa mère seraient parties directement pour varanno où devaient êtres célébrés les noces de l'héritière des bathory avec l'héritier des nàdasdy. château de csejthe ces noces eurent lieu le 8 mai 1575. elizabeth avait quinze ans, et son mari en avait vingt et un. l'empereur maximilien de habsbourg assista lui-même au mariage. le roi matthias de hongrie et l'archiduc d'autriche envoyèrent de somptueux cadeaux aux nouveaux époux qui s'en allèrent passer leur lune de miel dans le château de csejthe, dans le district de nyitra, région montagneuse du nord-ouest de la hongrie, encore célèbre aujourd'hui par la qualité de ses vignobles, mais aussi pour ses châteaux forts en ruines, ses histoires de fantômes et ses traditions vivaces de vampires et de loups-garous. mais le séjour de férencz nàdasdy fut de courte durée. ses devoirs de combattant l'appelaient à la guerre à travers toute la hongrie et les pays avoisinants. il laissa donc sa jeune et belle épouse régner sur le château de csejthe et sur les vastes domaines qui l'entouraient. que se passa-t-il donc alors ? il est probable que la sensualité d'elizabeth, fortement éveillée par son mari - qui lui fit d'ailleurs deux enfants - se sentit quelque peu frustrée. on lui prêta plusieurs intrigues amoureuses, mais sans lendemain, dont une avec un de ses cousins, le comte gyorgy thurzo, futur premier ministre de hongrie et qui fut d'ailleurs, par la suite, son juge le plus sévère. cela ne veut pas dire que les époux ne s'entendaient pas bien : au contraire, leurs retrouvailles étaient toujours de nouvelles lunes de miel. mais le seul tort du mari était d'être trop souvent absent. et, un jour de 1586 ou 1587, alors que férencz nàdasdy était en plein combat contre les serbes, on raconte qu'arriva au château de csejthe (un grand jeune homme au teint cadavérique, dont le nom est resté perdu pour l'histoire. il était habillé de noir, avait de profonds yeux noirs et de longs cheveux noirs tombant jusqu'aux épaules. lorsque les servantes de la comtesse racontèrent au village de csejthe qu'il avait aussi des canines qu'elles jugeaient anormalement longues, plus personne ne douta qu'un vampire s'était installé au château, et les villageois n'allèrent plus se coucher sans avoir soigneusement barricadé leurs portes et leurs fenêtres avec des planches 1 ". cette histoire s'inscrit très bien dans le décor que suscite le personnage hors pair de la comtesse bathory, mais elle est plus que suspecte. toujours est-il qu'elizabeth s'absenta pendant plusieurs semaines. était-elle partie avec son " vampire " ? les villageois murmurèrent, paraît-il, que la comtesse avait été littéralement " vampirisée " par le sombre inconnu. il est plus vraisemblable de croire que cet homme était une sorte de sorcier, ou de prêtre plein, qui initia elizabeth à certaines pratiques magiques. car elle ne faisait pas mystère de ses fréquentations auprès des mages, des sorcières et autres personnages, toujours féminins, qui officiaient dans les forêts, à l'abri des regards indiscrets. plus intrigante est la relation entretenue réellement par elizabeth bathory avec une mystérieuse inconnue, dont personne ne savait le nom, , et qui venait voir elizabeth, déguisée en garçon. une servante avait dit à deux hommes, - ils en témoignèrent au procès -, que, sans le vouloir, elle avait surpris la comtesse seule avec cette inconnue, torturant une jeune fille dont les bras étaient attachés très serrés et si couverts de sang qu'on ne les voyait plus ,. ce n'était pas une paysanne, mais une femme de qualité qui, sans être masquée, éprouvait le besoin de se travestir, sans doute pour éviter de se faire reconnaître. " cette visiteuse, pour laquelle on emploie le mot " dame ", était-elle une amie descendue de quelque château des environs pour ces fêtes à deux ? amie ignorée et intermittente, en tout cas, puisqu'à csejthe on connaissait à peu près tout le monde appartenant à la contrée. une étrangère ? alors, quelles étaient exactement les relations entre elle et elizabeth ? leurs sadiques plaisirs étaient-ils les seuls " il est bien difficile de répondre, d'autant plus que si la comtesse bathory a commis et fait commettre d'innombrables crimes de sang sur des jeunes filles, on a considérablement brodé sur son action. et ce ne sont pas les minutes de son procès, pourtant fort précises quant aux témoignages recueillis, qui peuvent donner la solution des véritables motivations d'elizabeth bathory. cependant, férencz nàdasdy mourut soudainement en 1604. devenue veuve, la comtesse semble n'avoir rien changé à son mode de vie. les tortures qu'elle infligeait à ses servantes, elle les pratiquait depuis longtemps et son mari le savait parfaitement, considérant celles-ci comme de simples amusements de la part de sa femme. d'ailleurs, dans toutes les maisons nobles de ce temps, il était courant de fouetter les servantes pour un oui ou pour un non. l'état de servage n'existait plus en hongrie, mais les vieilles habitudes ont du mal à disparaître, surtout quand elles sont acceptées, bon gré, mal gré, par celles qui en sont les victimes. l'un des témoignages du procès est catégorique : à la question de savoir depuis combien de temps la comtesse maltraitait les jeunes filles, un témoin répond : , elle commença quand son mari était encore en vie, mais alors ne les tuait pas. le comte le savait et ne s'en souciait guère. " on raconte une curieuse anecdote à ce sujet, non pas sur le début des sévices opérés par elizabeth, mais sur la naissance de sa fascination pour le sang qui coule. " un jour qu'elle avait frappé une servante assez violemment pour la faire saigner du nez, parce qu'elle lui avait tiré les cheveux en la peignant, un peu du sang de la jeune fille tomba sur le poignet d'elizabeth. un peu plus tard, la comtesse crut remarquer que la peau de l'endroit où était tombé le sang était devenue plus blanche et plus douce que la peau environnante. intriguée, elle se baigna le visage avec le sang d'une des victimes de ses orgies sadiques. son visage lui sembla rajeuni et revivifié par le traitement 1. " le souci primordial d'elizabeth bathory, depuis son plus jeune âge, avait été sa beauté: elle avait une peur atroce de vieillir et de s'enlaidir. il n'en fallait pas plus pour s'imaginer qu'elle pouvait indéfiniment préserver sa beauté grâce à du sang frais de jeunes filles, de préférence vierges, donc revêtues de cette aura magique que confère la virginité. " le sang, c'est la vie ! " répétait renfield au docteur seward. mais pour elizabeth bathory, la vie, c'était la beauté et la jeunesse. si l'anecdote est vraie, on comprend mieux ce goût du sang chez elle. et cela nous ramène inévitablement au vampirisme. elizabeth bathory passait son temps au château de csejthe, faisant également de fréquents séjours à presbourg et surtout dans la demeure qu'elle avait acquise à vienne, non loin de la cathédrale, demeure qui semble avoir été marquée aussi par de sanglantes orgies. a csejthe comme ailleurs, elizabeth était toujours accompagnée de sa nourrice jo ilona et de sa servante dorottya szentes, dite dorko, deux femmes vieilles, vulgaires, sales, d'une totale immoralité ' et probablement sectatrices d'une de ces mystérieuses cohortes de sorcières avorteuses qui pullulaient encore dans les campagnes de l'europe centrale. il semble qu'elles aient été les principales pourvoyeuses de " chair freiche " de la comtesse, en même temps que ses "agents d'exécution " quand il s'agissait de frapper, de saigner, puis d'enterrer les malheureuses victimes. autour de ce duo infernal, il y avait un homme à tout faire, ujvari johanes, dit ficzko, une sorte de nabot disgracieux, et une lavandière, katalin beniezky. elizabeth vivait au milieu de cette troupe entièrement vouée à son service et à la satisfaction de ses instincts les plus bas. cela constituait pour elle le personnel permanent et indispensable. mais il y avait aussi le personnel " volant ", de belles jeunes filles dont elle faisait ses servantes, et parfois ses concubines, du moins tant qu'elle y trouvait une certaine nouveauté. car ces " servantes " disparaissaient les unes après les autres, et il fallait bien que le " personnel permanent " se chargeât de renouveler un cheptel qui devait être toujours jeune et beau. certes, il y en avait toujours en réserve. on prétend même que la comtesse veillait à ce que ces jeunes filles retenues prisonnières fussent bien nourries et engraissées, car elle croyait que plus elles étaient dodues, plus elles avaient de sang dans les veines, et que plus elles étaient bien portantes, plus la vertu de ce sang était efficace. plus que jamais, le sang était la vie: elizabeth bathory croyait-elle pouvoir échapper au vieillissement et à la mort, et gagner ainsi une éternelle jeunesse ? il semble qu'il faille prendre très au sérieux cette conviction. un autre personnage vint bientôt compléter la sinistre troupe, une certaine darvulia anna. on a largement brodé sur cette femme sous prétexte que son nom évoque celui de dracula. il n'est pas nécessaire d'en venir là, car il apparaît que darvulia était une sorcière de la meilleure tradition, une magicienne noire qui connaissait des formules et des incantations sataniques et qui n'hésitait pas, comme le fera plus tard la voisin, en france, au moment de l'affaire des poisons, à procéder à des sacrifices humains pour obtenir l'aide des puissances démoniaques. sans doute darvulia anna sut-elle convaincre elizabeth bathory, déjà quadragénaire mais toujours très belle, qu'elle connaissait les recettes infaillibles pour prolonger indéfiniment cette beauté. la comtesse ne put plus se passer de darvulia, et il est établi que la présence de cette ( sorcière" ne fit qu'augmenter la fréquence des (, sacrifices " qu'elizabeth offrait à la mystérieuse divinité assoiffée de sang qu'elle n'avait jamais cessé d'adorer depuis sa plus tendre enfance. les plus belles filles de transylvanie et de hongrie, lorsqu'elles étaient repérées par les émissaires de la comtesse, prenaient le chemin du château de csejthe. tous les moyens étaient bons : menaces, intimidation, promesses d'argent, achat pur et simple dans certaines familles pauvres. mais la plupart d'entre elles ne ressortaient jamais plus de la sinistre forteresse. on a probablement fort exagéré les récits concernant les supplices infligés à ces innocentes jeunes filles par la comtesse bathory et ses âmes damnées. mais il en est de suffisamment établis pour se faire une idée de l'atmosphère malsaine et macabre qui régnait dans les souterrains du château de csejthe. les filles étaient frappées avec violence. certaines avaient le cou percé selon la plus pure tradition vampirique. d'autres étaient liées avec des cordes qu'on tordait ensuite afin qu'elles puissent s'enfoncer dans les chairs, ce qui permettait de leur ouvrir les veines et de faire jaillir le sang sur la comtesse. on prétend même' qu'on remplissait parfois des baignoires de sang et qu'elizabeth s'y baignait avec ravissement. mais comme sa peau délicate ne supportait pas d'être essuyée avec des serviettes, ce sont d'autres filles qui devaient la débarrasser du sang en lui léchant tout le corps avec leurs langues. celles qui, ne supportant pas une telle horreur, s'évanouissaient, étaient ensuite sévèrement châtiées avant de servir de victimes à leur tour. on imagine aisément le contexte érotique de ces rituels. selon certaines sources, toujours quelque peu discutables, certaines de ces jeunes filles finissaient leur vie dans le lit même de la comtesse. elizabeth faisait venir les filles qui lui plaisaient le mieux et s'abîmait avec elles des nuits entières dans des embrassements - et des embrasements - homosexuels, avant de les mordre cruellement, parfois jusqu'à la mort. on comprend que de telles relations aient pu intéresser au plus haut point un spécialiste de l'érotisme dans la souffrance comme l'a été georges bataille, et aussi inspirer un certain nombre de films plus ou moins érotiques, mais parfaitement sadiques. il y a aussi la fameuse "vierge de fer". est-ce une légende ? actuellement, cet automate monstrueux peut encore être vu au château de riegersburg, en styrie. est-ce celui dont, paraît-il, se servait la comtesse bathory? il s'agissait d'une statue de bois articulée, avec des mécanismes de fer, en forme de femme. image de la déesse cruelle qu'adorait elizabeth ? peut-être. ce qu'il y avait de terrible dans cet automate, c'était les pointes acérées qui pouvaient transpercer les corps qu'on soumettait à l'étreinte de la " vierge ,. car il est possible que des filles aient été ainsi livrées à la vierge de fer: les bras de celle-ci se refermaient sur le jeune corps et le pressaient de plus en plus contre les pointes acérées, permettant au sang de couler en abondance, sous les yeux d'elizabeth et de celles qui partageaient obligatoirement ses infernales jouissances. la comtesse bathory eût certainement été très à l'aise dans l'élaboration d'un musée des tortures. et même si cette histoire de vierge de fer est une légende racontée après coup, l'anecdote reste néanmoins significative: toute la vie d'elizabeth était imprégnée de sang, parce que le sang, c'est la vie. cependant, même si l'on est un personnage considérable, même si l'on est apparenté aux plus nobles familles de hongrie, de roumanie et du saint-empire, même si l'on prend des précautions pour éviter que les langues se délient, de telles manoeuvres ne passent pas inaperçues. on n'empêche pas certaines personnes de murmurer. on n'empêche pas les allusions, et ces allusions se colportent de village en village. trop, c'est trop... des rumeurs incroyables parvinrent jusqu'à la cour de vienne, et les autorités ecclésiastiques, sentant qu'il y avait sans doute des pratiques relevant de l'hérésie ou du paganisme, commencèrent à se livrer à de discrètes enquêtes. mais comment faire pour savoir la vérité, alors qu'en principe, la belle comtesse bathory était insoupçonnable et " intouchable " ? évidemment, personne n'osait porter officiellement plainte, pas même les parents des jeunes filles disparues qui craignaient trop les représailles, y compris celles de forces diaboliques qu'on disait être au service de la comtesse. les bathory et les nàdasdy étaient bien trop puissants... mais cela n'empêcha nullement le roi matthias de hongrie de prendre l'affaire en main. convaincu, par certains témoignages, que l'héritière des bathory était coupable de crimes de sang, il ordonna une enquête qu'il confia au gouverneur de la province, lui-même cousin d'elizabeth. le gouverneur se rendit secrètement à csejthe et s'informa auprès de certaines personnes de confiance, en particulier le curé qui, sans avoir l'intention de le publier de son vivant, avait rédigé un long mémoire dans lequel il signalait quantités de faits pour le moins troublants. l'envoyé du roi matthias fut très vite édifié, et, lorsqu'il eut fait son rapport, la décision du roi fut implacable: arrêter la comtesse bathory et tous ses complices. et cette tâche, il la confia à un autre cousin d'elizabeth, et qui avait été un temps son amant, son premier ministre, le comte gyorgy thurzo. le 29 décembre 1610, à la tête d'une troupe armée et accompagné du curé de csejthe - à qui il arriva d'ailleurs une curieuse aventure à cause d'un groupe de chats ! - et en présence des deux gendres d'elizabeth bathory, le comte thurzo pénétra dans le grand château. la garnison n'opposa aucune résistance et les grandes portes étaient même entrouvertes. tous purent donc pénétrer à l'intérieur sans aucune difficulté : " ils allèrent à travers le château, et, accompagnés de gens munis de torches connaissant les entrées des escaliers les plus secrets, descendirent au souterrain des crimes, d'où montait une odeur de cadavre, et pénétrèrent dans la salle de tortures aux murs éclaboussés de sang. là se trouvaient encore les rouages de la , vierge de fer ", des cages et des instruments, auprès des brasiers éteints. ils trouvèrent du sang desséché au fond de grands pots et d'une sorte de cuve ; ils virent les cellules où l'on emprisonnait les filles, de basses et étroites chambres de pierre; un trou profond par où l'on faisait disparaître les gens; les deux branches du souterrain, l'une conduisant vers le village et débouchant dans les caves du petit château, l'autre allant se perdre dans les collines... enfin, un escalier montant dans les salles supérieures. et c'est là, étendue près de la porte, que thurzo vit une grande fille nue, morte; celle qui avait été une si belle créature n'était plus qu'une immense plaie. a la lumière de la torche, on pouvait voir les traces laissées par les instruments de torture: la chair déchiquetée, les seins tailladés, les cheveux arrachés par poignées; aux jambes et aux bras, par endroits, il ne restait plus de chair sur les os 1. " plus loin, toujours dans le souterrain, thurzo et ses hommes découvrirent plusieurs douzaines de jeunes filles, d'adolescentes et de jeunes femmes. certaines étaient affaiblies, presque complètement vidées de leur sang; d'autres, dans un état d'hébétude totale, étaient encore intactes : c'était le bétail réservé aux prochaines orgies. par la suite, on exhuma une cinquantaine de cadavres de jeunes filles dans les cours et les dépendances du château. elizabeth bathory ne se trouvait pas dans le château. il est vraisemblable de penser qu'après une nuit d'orgie rituelle, elle s'était retranchée dans son repaire constitué par le petit château, son domaine réservé où peu de gens avaient le droit de s'introduire. lorsque le comte thurzo se présenta devant elle, elle ne songea pas un seul instant à nier l'évidence. aux accusations que lui porta légalement son cousin et ex-amant, elle répondit que tout cela relevait de son droit de femme noble, et qu'elle n'avait de comptes à rendre à personne. sans se laisser impressionner, thurzo la fit mettre sous surveillance, et la comtesse s'enferma dans un mutisme hautain dont elle ne se départit jamais plus. mais la procédure de la justice était en marche et plus rien ne pouvait l'arrêter désormais. le roi matthias était décidé à aller jusqu'au bout, gyorgy thurzo et les membres des familles bathory et nàdasdy également, même s'ils craignaient de supporter les conséquences d'un étalage public des turpitudes de la comtesse. en fait, chacun se trouvait embarrassé, car tout cela éclaboussait la plus haute société austro-hongroise de l'époque. matthias de hongrie était le plus acharné à vouloir justice, le comte thurzo le plus réservé, et aussi le plus calme. il devait y avoir procès : il aurait lieu, mais on prendrait soin de n'y point faire paraître la principale inculpée, ce qui était une façon élégante de ne pas mouiller certains membres de l'aristocratie qui avaient, sans nul doute, d'une façon ou d'une autre, été complices de la meurtrière. il fallait des accusés pour en faire des coupables. on se rabattit sur l'entourage immédiat d'elizabeth. on savait que ceux-là, qui appartenaient aux classes les plus obscures de la société, n'étaient pas dangereux et que leur condamnation servirait d'exutoire le vampirisme et la mastication des morts dans leurs tombeaux" c'est le cadavre qui a fourni la première notion de mauvais esprit " (sigmund freud) depuis la nuit des temps, l'homme a matérialisé sa peur de la mort et du néant par l'apparition d'angoisses nocturnes. la spectropathie fondée sur l'hallucination de la vue et du toucher ainsi que la tristesse des sujets et les cauchemars allaient alimenter un climat contagieux de terreur collective dont le vampire est certainement la créature la plus connue. parmi ces formes, l'animation démoniaque d'un cadavre est certainement la plus ancienne, on retrouve ces traces jusqu'à l'antiquité et au début du christianisme. le démon pouvait prendre une forme corporelle attractive (succube) afin d'ajouter la possession physique à la possession psychique. il pouvait se contenter à cette fin d'entrer en possession du corps d'un défunt et de le manoeuvrer comme un automate. ces démons pouvaient prendre la forme d'une jolie fille pour les posséder et les sucer de leur sang , les égorger ou les dévorer. on distingue parmi ces " précurseurs " indirects des vampires : jonathan un ami webmaster son forum :_________________°~*http://entre-gothic.superforum.fr/*~°           les loups-garous definition, historiquec'est l'art de certaines personnes à se changer en loup. d'autres parlent d' une ou de plusieurs maladies mentales! antiquitela mythologie gréco-romaine offrant de nombreux exemples de métamorphoses de dieux et de héros en animaux, l'on ne s'étonnera pas de rencontrer aussi occasionnellement la transformation en loup. des loups-garous sont mentionnés par virgile dans la viiième eglogue, tandis qu'hérodote et pomponius mela rapportent que les neuri ont la faculté de se changer en loups une fois l'an. ovide conte dans ses métamorphoses l'histoire de lycaon, changé en loup par zeus. des récits semblables sont attestés à propos de sacrifices à jupiter lycaeus. pétrone en mentionne également. le loup-garou antique est généralement originaire d'arcadie.scandinaviehommes-loups et hommes-ours dans les sagas islandaises, certains héros ont la faculté de se transformer en loups ou en ours. la transformation apporte des pouvoirs énormes à celui qui l'effectue. trois méthodes sont rapportées: revêtir une peau d'animal l'âme seule entre dans un animal; le corps humain du sujet demeurant dans un état cataleptique par incantation dans tous les cas, le sujet garde ses yeux et son regard humains, ce qui permet de distinguer de telles créatures des animauxcourants.les berserkirles berserkir étaient une classe de guerriers particulière. ils se signalaient par leur vêtement, une peau d'ours ou de loup et des accès de rage inouïe les rendant quasi invulnérables durant le combat. ils sont dotés du pouvoir de métamorphose: bien des hommes-loups ou hommes-ours des sagas sont aussi des berserkir. l'eglise lutta contre le phénomène, le baptême étant censé supprimer la rage des berserkir.vargrle mot vargr désigne en vieux norrois à la fois un loup et un homme ostracisé, un outlaw, condamné à vivre à l'écart à cause de ses forfaits. les textes comparent volontiers ce type de personnage aux loups, et il existe des récits de métamorphoses de vargr en loups.enfin les sagas rapportent aussi des cas d'hommes-sangliers.moyen agele suédois olaus magnus signale des rassemblements de loup-garous en prusse, lithuanie et livonie. des loups-garous sontégalement signalés à prague, tandis qu'en irlande st natalis jeta l'anathème sur une famille illustre, condammnant ses membres à setransformer en loups pendant sept ans. enfin, l'on connaît le lai du bisclavret, de marie de france, dont le héros est un seigneur se changeant en loup. la croyance aux loups-garous apparaît donc fort généralisée dans l'espace comme dans le temps, puisqu'ilexiste des récits de lycanthropie postérieurs au moyen age.les loups-garous sont pratiquement les seuls cas de métamorphose animale dans le monde latin. l'homme doit dépouiller ses vêtements pour se changer en loup; si ceux-ci sont détruits ou volés, il ne peut reprendre forme humaine. les éventuelles blessures infligées au 'loup' se retrouveront sur la partie du corps correspondante lorsque le garou redevient homme._________________   les lamies :serpents ailés se terminant par une tête et un buste de femme. dans la mythologie grecque, lamia, autrefois belle jeune femme fut punie par la jalouse héra qui tua tous ses enfants, pour se venger lamia se métamorphosa en monstre, mangeant les nourrissons des jeunes parents. les striges :démons femelles aillées munies de serres. les empuses :spectres multiformes de la nuit pouvant se muer en monstres innommables ou en créatures de rêve. les omosceles :démons aux pieds d'ânes qui s'attaquaient aux voyageurs égarés. une variante orientale de ces démons est la goule qui d'après les mille et une nuit erre dans les campagnes et se jette par surprise sur les passants pour les tuer ou le cas échéant se rend la nuit dans les cimetières se repaître de la chair des défunts. pourtant vers le milieu du 18 ème siècle qu'on s'applique à nous dépeindre comme celui des lumières et du rationalisme, d'étranges cas sont signalés dans la lointaine hongrie .... elle est le théâtre d'abominations, on y' voit des hommes morts depuis plusieurs mois revenir, parler, marcher, infester les villages et sucer le sang de leurs proches. pour ces malheureux villageois, une seule délivrance : l'exhumation du corps, l'empalement, la décapitation et l'extirpation du coeur. d'autres par contre entendent la nuit venue dans les cimetières les morts "mâcher" dans leurs tombeaux provocant un bruit semblable à celui qu'un porc fait en mangeant. un fil ténu relie l'état vampirique à la démonologie, il réside d'une part dans les croyances folkloriques qui veulent qu'après leur mort, les loup garous deviennent vampires ; d'autre part dans le fait que les démons incubes empruntent souvent le véhicule des cadavres pour parvenir à leurs fins érotiques. cadavres de sorciers, excommuniés, suicidés sont la nourriture diabolique d'une psychose infernale. le vert : couleur du vampirisme ?contrairement aux idées reçues, le rouge qui évoque le sang n’est pas la couleur vampirique. il s’agit du vert. en héraldique, les couleurs ne sont pas distribuées au hasard, et chacune d’entre elles à un sens plus ou moins secret. l’ordre du dragon, crée par l’empereur allemand sigismond et auquel appartenait drakul, et la famille barthory dont elisabeth est l’une des figures les plus marquantes, utilisait le vert comme couleur, que cela soit dans les bijoux de l’ordre ou encore les capes dont étaient revêtus ses membres.bram stoker a écrit un autre récit vampirique, le joyau des sept étoiles, qui mets en scène les aventures d’une reine vampire qui s’appelle tera. elle se déplace toujours dans une aura de couleur verte. de même paul féval, dans son œuvre « ville vampire » nous apprend que les « non-morts » se déplacent toujours dans une sorte de halo verdâtre.plus étrange, n’importe qui peut vérifier que dans l’antre des chauves-souris de type « vampire » suceuses de sang, il se dégage une odeur pestilentielle, qui provient de la verte ammoniaque contenue dans leurs fientes.l’écrivain jean-louis bouquet auteur de deux nouvelles concernant les vampires : l’ombre du vampire et alouqa ou la comédie des morts, dans ce dernier roman, il nous parle d’une nécropole vampire appelée le cimetière vert.mais il y a mieux, des chercheurs en hématologie essaie de créer un sang synthétique, pour palier le manque de sang à disposition des malades, et ce sang artificiel serait de couleur verte. ou quand la réalité rattrape le mythe ! mais est-ce bien un mythe…chez les gens du spectacle et les gens du voyage, une ancienne tradition dit que les vampires se cachaient parmi eux, profitant de leurs déplacements à travers l’europe, se masquant derrière des masques de comédie, et pouvant dormir le jour, car les représentations ayant la plupart du temps lieu la nuit. et dans ce milieu des comédiens et des gens du voyage, la couleur verte est maudite, elle porte la poisse, mais personne ne peut dire pourquoi. certains chercheurs pensent qu’il pourrait s’agir du souvenir du signe de la présence symptomatique d’un vampire dans la troupe.les auteurs grecs pausanias et appolonios de tyane ont été les premiers a chanté la geste vampirique, et ils considéraient aussi le vert comme couleur maudite.dans le film « dracula » de francis ford coppola, mina harker, vampirisée, revêt une robe du plus beau vert, un symbole fort présent dans le film. toujours dans ce film, mina et dracula boivent ensemble une boisson verte : l’absinthe appelé à l’époque « la fée verte » boisson à laquelle on attribuait d’étranges pouvoirs magiques. et le comte dracula ne se déplace que dans un nuage de brume vert. les exemples sont nombreux, lestat par exemple, le vampire d’anne rice a les yeux verts, de même, la « mort-amoureuse » de théophile gauthier, un chef d’œuvre du romantisme vampiriques, mets en scène une femme-vampire aux yeux verts.le vert, on l’aura compris, est dans le vampirisme, un très fort symbole, dont le code est une sorte de référence à l’univers des « non-morts », et à la symbolique de la putréfaction dans un cycle de régénération qui donne la vie éternelle. c’est en quelque sorte « l’œuvre au vert ».de même, qui n’a pas remarqué en visitant d’anciens cimetières, que la couleur verte est omniprésente sur les tombes, caveaux et autres chapelles, due à la présence discrète mais efficace, de mousses végétales, et de moisissures dues à des champignons, donnant cet aspect particulier à ces lieux, les revêtant d’un voile d’un vert discret, mais qui est bien là._________________ voici une traduction "google" je vais m'employer à le traduire mieux et je le replacerais ici, mais en attendant je ne résiste pas au fait de vous faire découvrir la fantastique affaire du cimetière de highgate à londres...vampires à londres ? 'si quelque chose surnaturel existe, le cimetière de highgate serait lui est maison normale. il s'est ouvert en 1839, une date pas par coïncidence suivante plusieurs années des épidémies municpal de choléra, et était élégant et assez cher de devenir rapidement amoung fasionable le victorians.just en appliquant la chance, il n'étonne pas que beaucoup de contes de mystère et tradegy sont entrelacés avec l'histoire de highgate. après l'all'over 165.000 les gens sont maintenant enterrés dans le bel emplacement du nord de colline de londres qui répartissent 37 acres. et deux de ces acres sont unconsecrated la terre.le cimetière de highgate lui-même est divisé en est plus nouveau et plus actuellement utilisé, et l'ouest plus ancien et plus eerier par lane de swain's, une route raide qui va rudement du village de highgate à la ville de kentish à côté du couloir souterrain hors d'usage de waterlow park.a lie les deux moitiés, permettant à des cercueils d'ères précédentes de traverser discrètement la route de la chapelle si nécessaire. le buste massif bien connu commémorant l'endroit d'enterrement de karl marx est dans la section est accessible, alors que l'ouest restreint d'accès est la dernière maison plus pittoresque de telles lumières comme le 19ème physicien michael faraday de siècle et d'histoires d'elizabeth siddal (l'épouse célèbre exhumée de dante gabriel rossetti) dites par des marcheurs sur ceci en bissectant le dos de route dans 1967 être ce qu'intially engendré la légende du vampire de highgate, une saga si controversée il continue à être discutée à ce jour.en considérant le cas de vampire de highgate, il est important de se rappeler que le cimetière puis était un endroit beaucoup différent qu'il est maintenant. le côté occidental avait été pratiquement abandonné par les propriétaires puis et était une épave abandonnée et s'émiettante embrouillée en années de nature allées d'une manière insensée. les usines et les animaux l'ont aimé, mais pas beaucoup de gens ont semblé à. les adolescents et les faire frémir-chercheurs moins naïfs régulièrement enfreints parmi les ruines, ayant pour résultat la désécration et le vandalisme, et tous sortes d'activités occultes ont eu lieu dans ses murs. cet état de la question a changé en 1975 où le cimetière a été mis dans la commande des amis de highgate, et tandis que leur régime a été au moins polémique la destruction et facile d'accès dévergondés a été raccourcie. en outre, le cimetière a toujours été amoung bien connu les experts d'horreur comme après avoir été l'inspiration pour une scène particulière dracula » séminal du chauffeur de bram de « . tandis que la chambre d'enterrement souterraine appropriée de famille a eu c'est les panneaux de verre de visionnement bricked plus de pendant beaucoup d'années, des chuchotements tordus ont continuellement si de façon ambigüe lié le cimetière avec le vampire le plus connu du monde.il était en cette atmosphère unwholesomely fertile que les rumeurs des vampires préoccupant la vie ont commencé la propagation, basée sur des sightings de la ruelle de swain par la porte du nord de manière permanente verrouillée du cimetière. de la porte du nord il y a un chemin latéral direct au cercle de showpiece du liban, un anneau des chambres fortes excavées qui entourent un arbre énorme de cèdre bien plus ancien que que quelque chose les humains ont construit pour les raisons. (l'approche principale à ces catacombes est par l'intermédiaire des colonnes lotus-ornées massives de l'avenue égyptienne, du côté opposé du cercle de l'église de rue michael) sean manchester, individu-a proclamé le chasseur de vampire et puis le président de la société occulte britannique, rapporte dans son autobiographique « le vampire de highgate » qu'une paire d'étudiants d'adolescent de couvent des syndicats de sainte de la marchaient à la maison après la porte du nord quand elles les deux scie ce qu'elles ont décrit comme tombes s'ouvrant et se lever de corps. manchester autre indique qu'un jeune homme escortait sa maison d'amie sous peu ensuite, quand tous les deux ont été terrifiés par un visage horrible de l'intérieur de la même porte scellée, et que quand l'homme plus tard est allé ghosthunting il a été effrayé au loin par accabler le bruit lent et éclatant et un appartition foncé. ce n'étaient pas les seules histoires inquiétantes par un long projectile. d'ici 1970, les journaux locaux regaling des lecteurs avec des articles et le dialogue continu de lettre-page au sujet des sightings fantomatiques. un flux des animaux sauvages mutilés et des animaux de compagnie ont été également rapportés, et il n'a pas pris longtemps avant qu'un lien surnaturel entre les deux sujets ait été forgé. le voisinage avait longtemps été malheureux au sujet de la façon dont le cimetière une fois connu sous le nom de valhalla victorien était devenu taudis rural, et ces agitations occultes étaient recieved avide comme promeuvent des matières pour la plainte. manchester était fréquemment dedans copie comme sujet et contributer, soulevant son profil public tout à fait de manière significative particulièrement quand il a annoncé son désir d'exorcizer ce qui il était positif était un vampire. ce qui l'avait convaincu la première fois qu'était entré en contact par elizabeth wojdyla, qui avait été l'une des deux filles de couvent et qui a cherché son aide à ses douleurs de l'anémie et à cauchemars au sujet d'un homme animalistic en dehors de sa fenêtre. manchester affirme qu'il l'a guérie en créant un bouclier protecteur avec des articles tels que le crucifix d'ail, de sel et d'argent. deuxièmement, il a été contacté par une femme appelée anne au nom de sa soeur, pseudonymously appelée luisa, qui a eu deux piqûres d'épingle sur son cou et une contrainte pour visiter le cimetière de highgate tandis que somnambulisme. il l'a suivie au columbarium du cercle du liban, où lui et anne ont éprouvé un bruit éclatant comme celui a décrit quelques ans avant, et qui a fini quand il a jeté une croix argentée entre le lourd, porte rouillée et lusia de fer.en mars de cette année, sandra harris de télévision de la tamise « aujourd'hui » programment essayé d'interviewer manchester devant la porte du nord maintenant notoire en tant qu'élément d'un vendredi la 13ème exposition, seulement pour être forcé de replacer plus loin en bas de la ruelle de swain par une manifestation de temps anormal. le reste de l'exposition s'est composé d'une chasse officielle à vampire par manchester et deux aides, mais dans un couple des heures de l'annonce télévisée presque 100 autres personnes traipsing partout et la police a été forcée d'intervenir. ces indépendants ont inclus le pape de john, qui dans 1973 a essayé de rassembler l'esprit du compte dracula avec une cérémonie magique dans sa pièce d'hôtel ; un professeur d'histoire a propice appelé le sang d'alan ; un riverain a appelé anthony robinson, qui a exigé qu'il a entendu un bruit aigu et a vu une forme grise pendant les démarches ; et rivaliser le chasseur david farrant de vampire, qui en 1974 a été essayé et a trouvé coupable des frais concernant la désécration grave. avant que les choses aient obtenu trop hors de toute réflexion, cependant, manchester a été abaissé dedans par une corde au columbarium et a trouvé trois cercueils vides, qu'il a épurés avec du sel, l'ail et les prières contre le retour possible de tous les vampires résidents.cette affaire a escaladé encore en août, quand une victime féminine sans tête de meurtre a été trouvée près du columbarium. manchester a resaisi la chambre forte épurée pendant des heures de jour et a constaté qu'un de trois cercueils vides était absent. mené par lusia comme lien psychique, il alors a pénétré par effraction dans les catacombes le plus près où le corps de cette femme avait été découvert, où il affirme qu'il a trouvé un cercueil supplémentaire. plus remarquablement, il insiste que sur le fait que dans le cercueil était un vampire, avec le fuseau coagulé dans les coins de lui est la bouche et le teint d'un trois-jour-vieux cadavre. manchester indique qu'il était constained par ses aides et la loi de conduire un enjeu par le son coeur, mais celui il a exécuté un exorcisme et cela que la chambre forte était bricked alors vers le haut à sa demande après que de nombreuses sauvegardes pour neutraliser le vampire aient été installées. il y a seulement le mot de manchester pour n'importe lequel de ceci, bien qu'un compte de l'exorcisme ait été rapporté dans un journal local. la chambre forte est pas bricked plus vers le haut, cependant, et les amis de highgate ont souvent nié que les activités de manchester ont été jamais données n'importe quelle créance, beaucoup moins que n'importe quelle action a été prise en raison de sa croyance. pendant les animaux morts de mois à venir (principalement les renards et les chats mutilés) continués pour apparaître en parc de waterslow, et un patient mental échappé s'est avéré errer le cimetière couvert dans son propre sang. la bbc est entrée sur l'acte avec un documentaire au sujet de l'occulte qui a inclus des entrevues avec plusieurs experts en matière de vampire, y compris manchester et les réalisateurs de film d'amateur de farrant.some a réclamé que les sightings avaient été réellement de leurs acteurs errant autour entièrement du costume. plusieurs groupes de chasseurs moins connus de vampire, une partie de qui étaient même sobres, ont été arrêtés dans les murs du cimetière. l'attirail satanique ont été trouvés dans le secteur. en conclusion, stimulé par ces derniers et d'autres événements, manchester a resaisi scellé tombeau en 1977 pour découvrir que le vampire et son cercueil ont été allés. deux ans après, les histoires au sujet d'une maison infâme et censément hantée situées au coin de la route de cresent et de la route d'avenue se tapissent dedans extrémité, londres du nord, ont commencé à apparaître dans les journaux locaux après des plaintes des résidants de la prochaine porte de la maison de retraite au sujet des enfants et des vandales. un journaliste a trouvé l'évidence d'une cérémonie de sorcellerie dans une salle supérieure de plancher, et son rapport a aiguillonné manchester pour effectuer sa propre recherche accompagnée d'un ami psychique et sceptique. selon manchester l'épreuve résultante du trio a inclus l'équipement mystérieusement détruit, les bruits inexplicables, soudainement la nourriture moisie et étant emprisonné à l'intérieur de leur voiture par une force mauvaise terrifiante. il déclare en outre que le matin suivant il est entré dans le sous-sol de la maison malade-présagée et a trouvé son vampire absent s'étendre dans son cercueil. après avoir appris sa leçon, cette fois manchester a conduit un enjeu par le coeur du vampire, puis il et ses amis ont traîné le cercueil dehors dans la cour, où ils ont incinéré à gauche la boue visqueuse après qu'inpaled la créature se soit dégénéré. il y a un dénouement impliquant lusia continuant l'infection du vampire du mal, mais le vampire de highgate lui-même n'était pas plus.il n'y a aucun doute que sean manchester croit au tout qu'il dit. il pense même qu'il sait le vampire est venu à highgate, sous le couvert d'un noble étranger qui a loué la maison de monsieur william ashurst (seigneur le maire de londres en 1694) qui était sur l'emplacement après cession de monsieur william. mais l'histoire du vampire de highgate est-elle vraie ? après tous, il y a au moins une femme en amérique qui a passé un essai de détecteur de mensonge remettant en cause sa controverse qu'elle vit actuellement avec elvis presley ! ! les amis de highgate sont profondément peu disposés à parler de n'importe quoi concernant des vampires, et les guides d'excursion feignent habituellement l'ignorance des histoires si les invités privés l'uns des ont la témérité à demander. l'auteur felix barker a impliqué la société occulte britannique dans empaler de nombreux cadavres dans la première édition cimetière de highgate de son livre « : valhalla victorien », mais éditions postérieures enlèvent la charge. les auteurs judi cuthbertson et tom randall, cependant, écrivent en leur 1991 livre « londoners permanent » ; des « tombes ont été profanées par le haut prêtre du chiffre élevé occulte britannique de society.this se sont cassées en au moins deux tombeaux douzaine et ont conduit des enjeux par les coeurs des défunts. il recieved quatre ans en prison pour ses activités d'anti-dracula ».manchester nie ceci sans équivoque, dire que les accusations se rapportent à la conviction 1974 de farrant (qui n'a eu rien à faire avec le cimetière de highgate) et sont basées sur le journal imprécis rapporte, mais il reste quelque peu peu clair si des autres frais criminels ont été jamais apportés contre manchester ou d'autres membres de la société quant à la preuve, là sont beaucoup de photographies en livres et d'autres publications de manchester, y compris on prétendant être le vampire de highgate comme il a commencé à se décomposer. mais des esprits techniquement avertis sont rarement convaincus par des photos, les sections convenables du cimetière de highgate ont été reconstituées bien hors de leur misère noire 1969, et la maison d'extrémité d'acroupissement a été démolie, bien qu'une partie de la maison originale est encore évidente dans la nouvelle structure établie sur l'emplacement. quoi qu'il en soit, si seule la foi et la croyance ne sont pas assez pour convertir des unbelievers il est difficile de déterminer quel type d'évidence serait asse'à convaincre. excepté, naturellement, une rencontre de première main avec une des relations du vampire de highgate !       les dragons le dragon est une créature mythique. a lui seul il représente les 4 éléments de la tradition occidentale ; l’eau, l’air, la terre et le feu. l’air par ses ailes d’oiseaux, la terre car il vit dans les entrailles de la terre, le feu car il est doté de poumons crachant du feu et enfin l’eau par les écailles qui le recouvre.il est considéré comme un animal aquatique, terrestre -voire souterrain - et céleste à la fois ! il n’est ni bon ni mauvais en lui-même, il représente le bien ou le mal. ainsi suivant les traditions il peut avoir plusieurs rôles. on retrouve souvent l’image de 2 dragons enlacés ou encore un dragon à 2 têtes, symbole du bien et du mal.le dragon et la magie…..il utilise la magie brune (ou de terre); magie verte (des plantes) et magie bleue (de l'eau). il sait comment manipuler la nature sans déséquilibrer l'ordre écologique. il peut invoquer le pouvoir des éléments car lui-même l’incarne. les sorciers-dragons haïssent les sorciers-humains qui n’ont aucuns respect pour la nature. il est capable de se transformer afin de se confondre en un paysage de la nature pour échapper à d’éventuels offenseurs.comment est né le mythe…..ces grands reptiles évoquent parfois des crocodiles ailés, ou des dinosaures. on compare ces figures symboliques d’être ayant réellement existé dans le passé. dans les mythes liés à la création du monde, les dragons apparaissent comme des êtres violents. dans la mythologie grecque …d'après phérécide, lors du mariage de héra et de zeus, gaia offrit comme présent des pommes d'or avec leurs branches. héra les admira et demanda à gaia d'en planter dans ses jardins qui s'étendaient jusqu'aux mont atlas. ce qui fut fait; mais comme les filles de cette région cueillaient trop souvent les fruits de ces arbres, héra y plaça un dragon comme gardien. héraclès tua cet animal fantastique et héra le mit au ciel car c'était sur son initiative que héraclès était allé l'affronter. selon d'autres conteurs, ce dragon fut opposé à athéna par les géants alors qu'elle s'attaquait à eux. la déesse le saisit malgré ses contorsions, le lança au ciel et le cloua à la place où il est. (noms des contes ; ovide - les métamorphoses; aviénus - les phénomènes d'aratos; callimaque - les origines; lucien - œuvres)au moyen age…..au moyen-age, sa légende était celle d’un gardien d’une caverne où se trouvait un trésor, ( c'est en occident le gardien de la toison d'or et du jardin des hespérides; en chine, dans un conte des t'ang, celui de la perle; la légende de siegfried confirme que le trésor gardé par le dragon n'est autre que l'immortalité.), ou une femme vierge qu’il gardait jalousementen occident….en occident la représentation de cet créatures est plutôt associée au mal, à satan…symbole de la destruction et du chaos (le patriarche zen houei-nêng fait également des dragons le symbole de la haine et du mal.). en extrême orient…..l’extrême orient, lui voit le dragon comme le symbole du bien. il est censé apporter le breuvage de l’immortalité, appelée le soma, boisson divine. dans la civilisation chinoise, le dragon représente le yang (le bien), il est souvent utilisé comme motif décoratif pour chasser les démons, ainsi que sur des vêtements. il est aussi présent dans leur astrologie. le deuxième jours du deuxième mois ils célèbrent la fête du dragon. au japon il est le dieu de la pluie. en mésopotamie, les dragons représentent les sirrouch de la porte d'ishtar.en germanie, l'or du rhin est gardé par un dragon.en france, sous le mont-saint-michel, il y en aurait un.en chine, un texte du vi ème siècle dit : "un serpent d'eau qui veut devenir dragon.d’autres symbolisations….il fait aussi office d’emblème de l’empereur par sa puissance et ses fonctions royales qu’il impose telles que la fertilité (il amène la foudre symbolisant la pluie fertilisant la terre), le rythme de vie (les 4 éléments). le dragon rouge est l’emblème du pays de galle. la légende veut qu’un dragon rouge et un dragon blanc on combattus et se soit mis k.o. tous les deux, ils sont maintenant enfermés dans un coffre à oxford, et tant qu’il n’est pas ouvert le pays est protégé contre les invasions. le dragon blanc signifie la mort et le rouge la colère. le faite qu’il soit enterré ensemble signifie la fusion des 2 destins.le dragon médiéval lui représente la magie. dans les contes fantastiques, vaincre un dragon était une épreuve que les héros devait entreprendre afin de conquérir un trésor ou une bien aimée.dans certaines traditions, les peuples dansaient la danse du dragon afin de faire venir la pluie ou la bénédiction du ciel suivant la couleur du dragon.les couleurs des dragons…il serait impossible de répertorier toutes les différentes teintes de dragons. cependant, on peut les lister en 3 parties ;- bleu, avec une variante entre l’argent et le nacre - rouge, avec une variante entre le cuivré jusqu’au noir rougeâtre.- vert, avec une variante d’or, de brun, de jaune. source : http://www.mythologie-fantastique.com/pages/accueil.html_________________       wifeo|envoyer une lettre|cuisine|rugby|cartes|annuaire|rencontres|annonces|communiqué de presse|a voir|referencement|magie|infos légales analyse mesure frequentation internet par

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