place du bahir dans la litterature esoterique

place du bahir dans la litterature esoterique initiation au bahir, le livre de la clarte ---- place du bahir dans la litterature esoterique   ouvrage dimension et langue date et lieu d'apparition du manuscrit première édition imprimée auteur inconnu supposé être séfer yetsirah ou livre de la formation un folio contenant 6/8 chapitres courts-hébreu 10ème sièclemoyen orient 1562 à mantoue abraham; en faitgnostiques du yishouv entre 3/5ème siècle séfer ha bahir, ou livre de la clarté 200 mishnayot de quelques lignes à une page – hébreu avec araméen fin 12ème sièclelanguedoc 1651 à amsterdam neh'ounya ben haqanah; en fait groupe de cabalistes du moyen age séfer ha zohar, ou livre de la splendeur 2400 foliosune vingtaine de livres - araméen 1270/1295catalogne 1558 à mantoue1559 à crémone shimeo'n bar yoh'ay, en fait moïse de leon       le bahir est une exégèse symbolique et poétique sur aussi bien des objets de culte (mézouza, tsitsit…), sur les lettres hébraïques et les signes vocalisation et de cantilation, sur les éléments de la  nature (arbre, lumière…) que sur des notions plus éthérées (midot ou mesures, paroles divines…), et s'appuyant sur des versets bibliques. il s'inspire du séfer yetsirah et l'explicite et il va plus loin dans la définition et la description des séfirot qui sont des "paroles"(ma-amarot), des "mesures"(midot), des vases, des attributs divins hiérarchisés en dix catégories. les préceptes divins sont inscrits dans la nature des choses (c'est pourquoi ils sont dénommés "h'oq"); s'y plier permet à chacun de vivre en harmonie avec la création. de même explorer le monde intermédiaire à travers les corrélations faîtes par la pensée, même si parfois c'est un jeu de cache-cache, facilite la compréhension du divin et delà de soi-même. on y entrevoit les notions nouvelles de migration de l'âme. le langage du bahir est souvent difficile à pénétrer car il est spécialisé et secret; souvent la rédaction hébraïque comprenant des araméismes est déficiente. a cela s'ajoute la méthode d'exposé du "diloug", ou de l'association d'idées par enchaînement, sans forcément une cohérence de sens ni logique évidente pour un lecteur non initié. le premier commentaire connu du bahir date de 1331 et est attribué à un élève de salomon ben adret (rashba): "or haganouz", la lumière cachée! un des derniers commentaires importants est celui de gershom sholem (1925).     albert soued – 16/12/01 www.chez.com/soued

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